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vendredi, 29 mars 2024
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Algérie : l’ex-patron de Sonatrach écope d’une lourde peine de prison

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Algérie –  L’ancien patron de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour vient d’être condamné à une lourde peine de prison. Dzair Daily vous en dit plus sur cette affaire dans la suite de cet article du 15 novembre 2022.

En effet, l’ex-patron de la Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour vient d’être condamné à une lourde peine de prison en Algérie. C’est le pôle pénal économique et financier de Sidi M’hamed qui a prononcé la sentence. L’ancien Président Directeur Général de la première entreprise d’Afrique passera les 15 prochaines années en prison. 

Par ailleurs, l’ancien PDG devra payer une amende d’un million de dinars. Ce verdict fait suite à de nombreuses accusations de corruption. Ces dernières sont liées à l’acquisition de la raffinerie d’Augusta, dans le Sud de l’Italie, par le groupe Sonatrach. Il s’agit de ce que rapporte le site francophone Algérie Eco dans son édition d’aujourd’hui.

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Le fils de Abdelmoumen Ould Kaddour, Nassim, a également été condamné par le même tribunal. Il a écopé d’une peine de 10 ans de prison et d’une amende de 3 millions de dinars. Ce dernier est actuellement en fuite et un mandat d’arrêt international a été émis contre lui.

Abdelmoumen Ould Kaddour et sa famille condamnés à de lourdes peines

Par ailleurs, le même tribunal a condamné l’épouse de l’ex-PDG de Sonatrach, Anissa Ouabdesselam à une peine de prison de 2 ans accompagnée d’une amende d’un million de dinars. Outre les trois personnages suscités, plusieurs cadres de l’entreprise Sonatrach se voient condamnés. Et ce, dans cette affaire de corruption liée à l’acquisition de la raffinerie d’Augusta.

De ce fait, le Procureur de la République avait requis une peine de 18 ans contre Abdelmoumen Ould Kaddour. Il a été accusé de conclusions de marchés publics contraires à la réglementation et aux lois en vigueur. Et ce, en vue d’accorder à autrui des avantages non justifiés.

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Aussi, de dilapidation de deniers publics, d’abus de fonction et de trafic d’influence. D’autre part, on l’accuse de conflit d’intérêts et non-consultation du partenaire social, lors de la conclusion de la transaction.

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