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jeudi, 28 mars 2024
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Algérie : l’État pourrait emprunter de l’argent auprès des citoyens

Publié le

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Algérie – L’État algérien songe à emprunter de l’argent auprès des citoyens afin d’éviter l’endettement extérieur. Retrouvez les détails dans cette édition du 30 septembre 2021. 

Ainsi, le gouvernement se retrouve face à une situation délicate. Effectivement, L’État pourrait emprunter de l’argent aux citoyens algériens afin d’éviter l’endettement extérieur. En fait, c’est la solution que privilégierait le premier magistrat du pays comme seule issue. C’est en tout cas ce que rapporte le média francophone Le Soir d’Algérie dans son édition d’aujourd’hui, que nous vous reprenons ici, ce 30 septembre 2021. 

En effet, pour financer son déficit budgétaire creusé, et afin de se sortir la tête hors de l’eau. Tout en faisant rentrer le pays dans une nouvelle ère économique. L’État pourrait recourir à l’emprunt intérieur en cas de besoin. Elle a également pour objectif de mettre un terme à sa dépendance aux hydrocarbures. Ce n’est pas une mince affaire. Quand on sait qu’ils occupent une place importante dans le produit intérieur brut (PIB) de l’Algérie. 

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Cela en prenant en considération la gestion économique et sociale du pays. Toutefois, le recours à l’endettement extérieur et la planche à billets. Celle-ci étant une perspective complètement écartée de l’Etat, puisqu’elle a été rejetée. Les pouvoirs publics misent alors sur l’argent des Algériens. C’est toujours d’après la même source. 

Déficit budgétaire évalué à plus de 3.300 milliards de dinars

En fait, pour y voir un peu plus clair l’État Algérien compte combler son déficit budgétaire ; estimé à près de 3.300 milliards de dinars auprès de l’argent des citoyens. Comme stipulé dans la loi des finances complémentaires à l’année 2021. Alors qu’auparavant la solution proposée par le ministère des Finances était d’utiliser une partie des réserves d’argent à travers la Banque d’Algérie en bons de Trésor. 

En outre, la même source précise qu’il était également question l’application d’autres mesures censées alléger la pression exercée sur le budget de l’État. Cela en mettant l’accent sur le partenariat entre le secteur public et le secteur privé. Ainsi que le développement des outils de financement bancaire.

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Par ailleurs, les missions dont se chargent les gestionnaires des affaires économiques et financières du pays consistent désormais à œuvrer afin de trouver un moyen de se procurer toute cette somme d’argent.

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