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mardi, 16 avril 2024
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L’Algérie défend sa position envers l’homosexualité à l’ONU

Publié le

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Actualité – Critiquée sur sa position envers l’homosexualité au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, l’Algérie a  répondu de manière claire au sujet ce point. Dzair Daily vous invite à en savoir plus dans la suite de cet article du 14 novembre 2022.

La position de l’Algérie sur l’homosexualité ne changera pas : c’est en tout cas ce qu’a fait savoir un représentant du pays au conseil des droits de l’homme de l’ONU, à Genève. En effet, après que les pays scandinaves ont critiqué la criminalisation de la communauté LGBT, la réponse algérienne ne s’est pas fait attendre.

Dans le détail, les pays scandinaves ont fustigé la position de l’Algérie sur l’homosexualité. Ils ont alors décrit la criminalisation de l’homosexualité comme une atteinte aux droits de l’homme. Ils ont ainsi appelé l’Algérie à abroger les articles en la matière. Il s’agit de ce que rapporte le site d’information arabophone Awras.

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Face à cela, un représentant de la délégation algérienne a pris la parole. Il a répondu que l’Algérie n’est pas près de dépénaliser cet acte. Pour étayer ses dires, le même responsable a indiqué que la criminalisation de l’homosexualité repose sur des considérations religieuses et sociales. Celles liées aux valeurs de la société, a-t-il souligné. 

Homosexualité : La réponse tranchée de l’Algérie 

Il faut savoir que la loi en Algérie punit l’homosexualité. Les citoyens se rendant coupables de pratiques homosexuelles encourent des peines de prison et des amendes. À cet effet, l’article 338 du code pénal algérien indique les sanctions que risquent les Algériens s’ils sont jugés coupables.

En effet, selon cet article, quiconque est auteur d’actes d’homosexualité sera passible d’une peine de prison dont la durée peut aller de 2 mois à 2 ans. Les coupables seront également condamnés à verser des amendes dont le montant peut varier entre 500 à 2.000 dinars. Et dans le cas où l’un des coupables est mineur, la peine du majeur sera alors portée à 3 ans de prison et 10.000 dinars d’amende.

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