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jeudi, 25 avril 2024
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Algérie : Croissance économique, déficit commercial.. Le point sur le PLF 2021

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Algérie – Récapitulatif des prévisions du projet de Loi de finances (PLF) pour l’exercice de l’année 2021, présenté mardi par le ministre Benabderrahmane à l’APN, concernant la croissance économique de l’Algérie ainsi que son déficit commercial entre autres. Dzair Daily vous en dit plus.

En effet, il vous est présenté ici l’essentiel du projet de Loi de finances (PLF 2021) de l’Algérie, à propos de la croissance économique, du déficit commercial, du niveau des réserves de changes…, etc. Le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane, a exposé aux députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) les différents contours du document, mis au point par ses services dans des circonstances qu’il dit inhabituelles. Cela du fait de la crise multidimensionnelle. À la fois économico-financière et sanitaire.

La croissance de notre pays devrait être de plus de 4% en 2021, d’après donc le PLF. Ce score serait le résultat des projets structurants dont la réalisation est censée survenir dans le contexte de la coopération des secteurs public et privé. Toutefois, l’impact de cette situation complexe dans l’avenir proche, serait néfaste pour l’économie algérienne. Ce serait de la sorte que le dinar algérien perdrait 5% de sa valeur annuellement. Ce qui donnerait naissance à une augmentation de 4% du taux d’inflation durant les deux ans à venir.

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Les chiffres du PLF 2021 et ce que dit le ministre sur la relance économique

Les recettes des hydrocarbures atteindraient 23,21 ($) milliards en 2021, prévoit-on dans le projet de Loi de finances (PLF). Les mêmes recettes seraient de l’ordre de 28,68 ($) milliards l’année d’après, 2022 en l’occurrence. D’autre part, le déficit de la balance de paiement de l’Algérie s’améliorerait. Il arriverait donc à fléchir jusqu’à -3,6 ($) milliards. Les réserves de changes, quant à elles, seraient de 46,84 ($) milliards. Ce chiffre pourrait couvrir une période de 16,2 mois d’importations de biens et services. Par ailleurs, les dépenses sont prévues de hausser au fil du temps.

Par conséquent, le déficit du trésor augmenterait à -15,5% du PIB en 2020. Il parviendrait à -17,6% en 2021. Et en 2022, il serait de -16,7%. En ce qui concerne le déficit budgétaire, celui-ci atteindrait -13,75%. Au parlement, on continue aujourd’hui de débattre autour du document. Les élus voteront le texte du projet mardi prochain, 17 novembre 2020. Le ministre des Finances n’a pas manqué de mettre l’accent sur un élément jugé crucial. Il a expliqué, dans ce sillage, que « la relance économique dépend de l’évolution de la pandémie. Et de la demande sur le pétrole ».

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