Algérie – Les proches et collègues des infirmières, qui ont subi l’assaut d’un agresseur muni d’une arme blanche en Algérie, témoignent de cette tragédie vécue par ces victimes. Dzair Daily relate pour vous tous les détails dans la suite de cet article du mercredi 29 juin 2022.
Une fois de plus, le secteur de la santé est en deuil. En effet, l’hôpital de Béni Messous situé à l’Ouest de la capitale d’Algérie a été témoin d’une terrible tragédie. Des faits accablants qui se sont traduits par l’assassinat d’une infirmière et la blessure d’une autre. À cet effet, la famille ainsi que les collègues des deux (2) infirmières victimes d’un agresseur muni d’une arme blanche en Algérie ont témoigné devant les caméras de DZ News.
Dans le détail, la journée du mardi 28 juin 2022 a été témoin d’une véritable tragédie. Accompagnée de sa collègue, une infirmière s’apprêtait, comme chaque jour, à se rendre sur son lieu de travail. Les deux (2) jeunes femmes ont été victimes d’une agression de la part d’un homme armé. Alors qu’elles luttaient contre ce vol, l’une d’elles a succombé à ses blessures. Tandis que l’autre a été grièvement blessée.
Les proches des victimes racontent les détails de l’agression
En effet, à la lumière de cette agression mortelle, le média précité s’est rapproché du CHU Béni Messous peu après les faits. Dans le but d’apporter davantage de détails sur ce crime, les proches des deux victimes ont témoigné. Ce drame a eu lieu vers 08h00 du matin de la journée du mardi. Cela, après qu’un jeune homme ait, avec sang froid, agressé deux jeunes femmes.
Dans sa déclaration, le cousin de la défunte a évoqué le souvenir de cette journée. « J’ai entendu des cris, quand je m’y suis rendu sur place, j’ai trouvé ma cousine à terre », a témoigné le jeune homme. Il a ensuite expliqué que sa collègue était déjà transportée à l’hôpital. Selon ses dires, sa défunte cousine a reçu des coups au niveau de son dos par un couteau tranchant. Ce qui a causé, selon lui, sa mort.
De son côté, la collègue des deux victimes a affirmé que toutes les deux étaient des filles de bonne famille. Elle a, à cette occasion, demandé un châtiment face à ces tragédies, qui, selon elle, se reproduisaient à plusieurs reprises. La locutrice a déclaré que la surnommée Zola a eu un coup au niveau de son dos. Tandis que la deuxième victime, qui se trouve actuellement en réanimation, a reçu sept (7) coups.
