Algérie – Ces dernières années, l’e-commerce a connu un développement inédit en Algérie, d’ailleurs, les chiffres constatés en témoignent. Dzair Daily vous apporte plus de détails à cet égard dans cette nouvelle édition du 11 août 2022.
En fait, les chiffres des opérations liées à l’e-commerce en Algérie sont en plein essor. Et ce, depuis plusieurs années maintenant. En effet, la propagation de la pandémie Covid-19 a participé, largement, dans la modification du comportement du consommateur algérien. Désormais, le commerce électronique est concerné par l’inscription au registre du commerce.
Ainsi, si vous voulez en savoir plus, vous n’avez qu’à lire l’intégralité de cet article. Tout d’abord, on notera que cette décision est entrée en vigueur depuis la promulgation de la loi réglementant cette activité en 2018. À cet effet, le Centre national du registre du commerce a publié un guide sur les procédures d’inscription au registre du commerce.
Parmi les points abordés par le guide, on citera les commerçants exerçants d’autres activités commerciales, au-delà du commerce électronique. Dans le détail, ces commerçants ne sont pas obligés d’inclure le code de cette activité lors de leur inscription au registre du commerce.
Lancement des banques virtuelles en Algérie : le projet est en cours d’examen
Selon ce que rapporte le quotidien arabophone Echorouk, le ministre délégué chargé des start-up a complètement nié les rumeurs stipulant l’interdiction des banques virtuelles en Algérie. Et ce, en mai dernier par le biais d’une publication postée sur son compte Facebook.
D’ailleurs, il a assuré que le gouvernement algérien fournit de grands efforts pour « pour moderniser le secteur bancaire ». Afin de faciliter l’exploitation des services numériques. Dans cette optique, le ministre Yacine Walid a fait savoir qu’il vise à inclure un amendement qui permettrait l’implantation de banques virtuelles en Algérie.
En effet, ce type de banque permet de fournir des services bancaires traditionnels. Notamment, l’émission de cartes de paiement et l’ouverture de comptes bancaires. Et ce, sans avoir besoin à « faire la queue », a indiqué le ministre délégué chargé des start-up, Yacine Walid.