Automobile – L’arrivée des premières voitures importées vers l’Algérie dépend d’un facteur essentiel que nous exposons pour vous dans la suite de cet article. On relate pour vous les détails juste en bas.
En effet, après une longue période de suspension, l’année 2023 a vu le dénouement du dossier de l’automobile. Et ce, à la faveur de la décision du président de la République, autorisant l’importation des véhicules d’occasion de moins de 3 ans ainsi que la relance de l’activité de concessionnaire de véhicules neufs. Cependant, l’arrivée des premières voitures importées vers l’Algérie dépend d’un facteur important.
Si vous souhaitez en savoir plus, nous vous invitons à lire l’intégralité de ce passage du jeudi 9 mars 2023. Effectivement, suite à l’annonce de l’octroi des agréments à 3 trois concessionnaires automobiles, les citoyens guettent avec impatience l’entrée des véhicules neufs. Or, celle-ci est subordonnée à un paramètre essentiel.
C’est ce qu’a déclaré l’ex patron de l’association des concessionnaires automobiles multimarques, dans les lignes du média arabophone El Khabar. Dans son discours, Youcef Nebbache a indiqué que le processus de l’importation ne serait pas si simple. Il a précisé que les importateurs doivent demander aux usines mères de construire des voitures conformes aux critères fixés dans le cahier des charges.
L’importation des voitures neuves va casser les prix ? Nebbache répond
De ce fait, l’ancien président de l’ACAM a indiqué que l’arrivée des engins à quatre (4) roues dépend de leur préparation au niveau des usines. Ainsi que le temps nécessaire pour l’expédition et le transport via des navires. C’est selon les déclarations du même intervenant faites au quotidien généraliste susmentionné.
S’agissant de l’impact de l’import des voitures neuves sur les prix, il a affirmé que les indicateurs économiques et commerciaux entourant l’activité de l’industrie mécanique jouent un rôle majeur à cet égard. Excluant une éventuelle diminution des tarifs.
« Les prix actuels diffèrent complètement de ceux enregistrés avant le gel des transactions, compte tenu des coûts élevés de l’énergie, a–t-il précisé. C’est toujours selon la même source médiatique.
