Algérie – En un geste de solidarité sans précédent, l’Algérie suspend toutes les festivités prévues à l’étranger pour la commémoration du 1er novembre. Cette décision forte exprime un soutien inébranlable au peuple palestinien.
Dans une tournure d’événements à la fois surprenante et révélatrice, le ministère des Affaires étrangères en Algérie, a annoncé l’annulation de toutes les préparations liées aux célébrations commémorant l’anniversaire du 1er novembre à l’étranger. Cette décision, dictée par le président de la République, s’inscrit dans un contexte de solidarité profonde avec la bande de Gaza, actuellement soumis à un siège impitoyable et des actes d’agression continus.
Le communiqué officiel précise que, sur ordre du président de la République, la tutelle a instruit toutes les ambassades, missions et consulats algériens à l’étranger d’annuler toutes les célébrations planifiées pour cette date historique. Non seulement les festivités du 1er novembre de cette année sont concernées, mais également toutes formes de célébrations associées à cette commémoration mémorable.
Solidarité : l’Algérie sacrifie ses commémorations du 1er novembre
Ce geste sans précédent de l’Algérie est une manifestation tangible de sa fraternité et de sa solidarité avec le peuple palestinien. Notamment ceux résidant dans la bande de Gaza assiégée. Ils sont actuellement confrontés à des agressions et à une série de crimes commis par l’occupant.
Le choix de cette annulation est d’autant plus significatif que la date du 1er novembre occupe une place particulière dans le cœur des Algériens. Elle marque le début de la Guerre d’Indépendance, un pivot dans la lutte pour la liberté et la souveraineté. En déplaçant l’attention de cette journée symbolique, l’Algérie envoie, en effet, un message puissant sur la scène internationale, soulignant l’urgence et l’importance de la crise humanitaire et politique à Gaza.
Ce développement récent souligne également l’engagement continu de l’Algérie en faveur des causes justes dans le monde. Cela reflète une politique étrangère qui, tout en préservant les intérêts nationaux, reconnaît et agit sur les responsabilités partagées envers les crises humanitaires mondiales.
