Algérie – L’agence nationale ANADE met à la disposition des utilisateurs une nouvelle plateforme numérique pour recevoir leurs diverses doléances. Dans ce nouveau numéro du 1er août 2022, nous vous dévoilons tous les détails.
ANADE lance une nouvelle plateforme numérique dédiée à tous les utilisateurs qui souhaitent faire entendre leur proposition et réclamation. Dans un communiqué posté sur leur page Facebook, l’agence en question informe que toutes les doléances peuvent se faire à divers niveaux. Notamment, la direction générale, le secrétariat général et services centraux.
Et ce, conformément aux instructions du ministre désigné par le Premier ministre en charge des micro-entreprises, Nassim Diafat. Mais aussi, en exécution des directives du directeur général par intérim. De plus, cette solution digitale a vu le jour pour faire preuve de transparence dans le traitement des diverses requêtes des employés.
Sachant que cet environnement numérique interne a été conçu au niveau de la Direction générale ANADE. Cela, garantit également la confidentialité du traitement des données. Selon Ennahar, l’agence a procédé à l’installation des bureaux locaux du réseau des femmes entrepreneures à travers 11 wilayas du pays. Ce serait le DG par intérim de l’ANADE, Mohamed Cherif Bouziane, qui s’est chargé de cette démarche.
ANADE : L’extension des catégories d’âge des femmes
Pour rappel, les wilayas concernées sont Tamanrasset, Béchar, Biskra, Annaba, Constantine, Sétif, Tizi Ouzou, Blida, Tipaza, Oran et Tlemcen. C’est ce qu’a rapporté la même source. D’ailleurs, Bouziane annonce que ce processus entre dans le cadre de l’exécution de la stratégie optée par le ministre délégué auprès du Premier ministre, Diafat.
Il faut savoir que son objectif crucial serait de promouvoir l’entrepreneuriat selon une vision économique globale. Par ailleurs, le DG par intérim a indiqué que le ministre délégué opère pour élargir les tranches d’âge des femmes. Puisque la femme est un élément actif en dehors du cadre conventionnel traditionnel.
Suivant les informations d’Ennahar, cette décision intervient pour un meilleur investissement dans le monde de l’entrepreneuriat. Tout en fournissant les formations nécessaires aux femmes demeurant hors des zones urbaines. Entre autres, les formations liées à l’activité initiée ou celles liées aux clauses de management et d’administration des micro-entreprises innovantes. C’est aussi d’après ce qu’a rapporté la même source.