Algérie – Air Algérie a programmé deux (2) vols dits spéciaux. La vente des billets se fera en trois agences qui vont ouvrir exceptionnellement.
Poursuivant l’élaboration de vols spéciaux, la compagnie aérienne nationale Air Algérie a annoncé hier mercredi 02 septembre qu’elle assurera deux vols (2) de rapatriement dans le sens unique Alger – Paris. La vente des billets de vols en question se fera en trois (3) agences, indique un communiqué relayé par Air Algérie.
Selon le même communiqué, le premier vol spécial aura lieu le 5 septembre. Quant au deuxième, il est prévu pour le 11 septembre. Par ailleurs, Air Algérie précise que ces vols spéciaux sont réservés uniquement pour les personnes éligibles. Particulièrement les ressortissants, les résidents et les détenteurs de visa type D pour l’espace Schengen.
Par le même communiqué, la compagnie aérienne a tenu à informer sa clientèle que les agences chargées par la vente des billets aller Alger – Paris sur les vols dits spéciaux sont Audin, Hotel Aurassi et Terminal.
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Air Algérie annonce l’ouverture exceptionnelle de 3 agences
Par le biais du même communiqué, la compagnie aérienne Air Algérie a communiqué la date d’ouverture exceptionnelle de ses trois agences qui vont s’occuper de la vente des billets de vols spéciaux. Les agences d’Audin, de l’hôtel Aurassi et du Terminal vont donc ouvrir exceptionnellement le vendredi 04 septembre 2020.
Par ailleurs, la compagnie aérienne invite les personnes concernées par ces vols souhaitant se rendre en France; à s’assurer qu’elles remplissent les conditions d’entrée aux pays de destinations en consultant les sites web gouvernementaux. Il convient de rappeler que les frontières algériennes restent fermées jusqu’à présent. Aucune décision n’a été prise des autorités gouvernementales. Cependant, Air Algérie se dit « prête » pour une éventuelle reprise des vols.
Il convient de rappeler également que le Dr. Bekkat Berkani s’est exprimé à l’égard des frontières. Il a confirmé que la décision revient à la Présidence de la République et au Gouvernement. « Il y a un risque patent qui doit être évalué par les autorités politiques »; a-t-il justifié.