Algérie – Dans le tourbillon numérique où les réseaux sociaux peuvent devenir juge et partie, Ahmed Ouargli, un jeune Algérien, prend la parole, ex-employé de l’influenceur bien connu Rifka, Ouargli s’est retrouvé au cœur d’une tempête médiatique après avoir critiqué publiquement son ancien employeur.
Dans l’univers impitoyable d’Internet, où chaque clic peut être un vote d’approbation ou un jet de pierre virtuel, Ahmed Ouargli, jeune Algérien, ancien employé de l’influenceur Rifka, s’est exprimé via une vidéo devenue virale. Après avoir publiquement attaqué Rifka, lui-même figure emblématique des réseaux sociaux, pour son comportement présumé d’exploitation professionnelle, Ouargli fait l’objet de critiques acerbes de la part des internautes.
Accusant le créateur de contenus Rifka de l’avoir utilisé pour promouvoir son restaurant, Ahmed Ouargli avait revenu sur ses propos, présentant des excuses à son ancien mentor. Néanmoins, ce geste « ingrat » lui a attiré les foudres des utilisateurs des réseaux sociaux.
Ces internautes, armés de leurs claviers, n’ont pas tardé à inonder les plateformes de messages peu amènes à l’égard de Ahmed Ouargli. En réponse, celui-ci a choisi de s’adresser directement à sa communauté virtuelle. Dans une vidéo émouvante, il appelle à la clémence et au respect, soulignant la dureté de l’intimidation en ligne et son impact souvent sous-estimé.
Ahmed Ouargli : du clash avec Rifka à l’appel au calme sur les réseaux
« Je demande simplement à être laissé en paix », déclare-t-il, les yeux lourds du poids des attaques virtuelles qu’il a subies. La vidéo de Ahmed Ouargli n’est pas qu’une simple réponse aux critiques ; c’est le reflet d’un phénomène de société plus vaste. Internet est devenu un espace où l’on peut rapidement s’élever ou chuter. Pour les curieux, nous vous exposons son passage juste ci-dessous.
L’histoire du jeune homme de 19 ans est une piqûre de rappel que derrière chaque écran, il y a une personne de chair et de sang, avec ses émotions et sa vulnérabilité. Peut-être que l’heure est venue de réfléchir avant de cliquer, de commenter, de juger. Après tout, la Toile, c’est nous qui la tissons, avec nos mots et nos actions.
