Algérie – Selon le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni, l’Algérie est en mesure d’assurer l’autosuffisance en céréales en exploitant l’agriculture saharienne. Dzair Daily vous en dit plus, ci-après.
Invité de la radio nationale ce dimanche, le ministre Henni a fait savoir que l’agriculture saharienne est la clé de l’autosuffisance en céréales. Et ce, en prenant en considération plusieurs facteurs. Ainsi, si vous voulez en savoir plus, vous n’avez qu’à lire l’intégralité de cette nouvelle édition du 24 juillet 2022. En fait, le responsable suscité estime que l’Algérie possède tous les moyens nécessaires pour atteindre l’autosuffisance en matière de céréales.
« […] Qu’il s’agisse de foncier agricole, des ressources hydriques, des semences, des compétences humaines ou des structures organisationnelles à l’instar de l’Office algérien des céréales », a-t-il déclaré. En effet, Henni a insisté sur l’obligation de l’exploitation des terres arides. Notamment celles du Sahara, qui représentent la solution optimale pour cette problématique.
Un effort commun pour atteindre la sécurité alimentaire
En fait, l’exploitation de l’agriculture saharienne est un atout qui intéresse les investisseurs nationaux, mais également étrangers. D’ailleurs, l’exploitation des terres agricoles sous forme de concessions est désormais envisageable. Il s’agit, en effet, des concessions de quarante (40) ans renouvelables pour des investissements de long terme. C’est là ce que rapporte le site Algérie éco.
En vue de l’exécution des instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, il est important de fournir un effort commun de la part de différents ministères, a fait savoir le premier responsable du secteur agricole en Algérie. Cela concerne le ministère de l’Énergie pour l’électrification des exploitations agricoles.
Outre ceux des Ressources en eau et de la Santé. Afin de garantir l’efficacité maximale de cette stratégie, le responsable susmentionné a évoqué la mise en place d’un réseau de transport plus dense et diversifié pour le transport des céréales. En plus du développement des chemins de fer. C’est aussi ce qu’on a appris par la même source déjà citée.
