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samedi, 13 avril 2024
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Aéroport d’Alger : Un individu voulait voyager avec un faux visa

Publié le

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Algérie – Les services de police de l’aéroport international d’Alger Houari Boumediène ont arrêté un jeune homme qui s’apprêtait à embarquer sur son vol vers l’Espagne. 

En effet, les services de police ont procédé à l’arrestation d’un individu qui allait tout juste embarquer à bord d’un vol à destination de l’Espagne. Il s’agit d’un homme d’une trentaine d’années qui était muni d’un faux visa Schengen, à l’aéroport d’Alger. Le site spécialisé Voyager DZ rapporte ces informations en citant Ennahar.

L’accusé trentenaire a assuré, par la suite, qu’il ignorait complètement que son visa était contrefait et falsifié. Au milieu de son interrogatoire policier, l’homme en question a fait savoir qu’il avait acquis son faux visa d’un individu résidant dans la wilaya de Jijel. Il affirme ignorer son l’identité. Une personne de son quartier, dénommée Amine, a servi d’intermédiaire son quartier de résidence.

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Le trentenaire interpellé alors a refusé de recourir à la voie consulaire. Il a en effet préféré tenter d’obtenir un visa d’entrée à l’UE par un autre moyen. Il aurait, en échange, payé la somme de 35 millions de centimes pour obtenir le document ailleurs, un faux bien entendu. De plus, il a remis deux photos ainsi qu’un acte de naissance en langue française afin d’acquérir son visa Schengen. 

L’homme arrêté à l’aéroport d’Alger est condamné à deux ans de prison ferme 

Le susmentionné, détenteur de faux visa, a été conduit devant les juridictions. Le propriétaire du visa contrefait, démasqué à l’aéroport d’Alger, a fait l’objet d’une condamnation à deux (02) ans de prison ferme. En ce qui concerne l’accusé qui a joué le rôle d’intermédiaire, celui-ci a été condamné par contumace.

Il a ainsi écopé de deux ans de prison ferme. La peine d’emprisonnement est assortie d’une amende. Le justiciable doit payer 200.000 DA au Trésor public. Ce dernier a hautement plaidé non-coupable. Il a comparu jeudi dernier, après un recours contre le verdict prononcé en contumace.

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Pour plaider son innocence, il a affirmé qu’il n’a pas été présent lors de l’arrangement final. Il a donc soutenu, au cours de son plaidoyer, qu’il s’est juste chargé de remettre le dossier de visa. La défense a sollicité l’acquittement de son client. Elle a argué en assurant que les éléments d’incrimination manquent à son dossier, écrit Ennahar.

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