Algérie – L’Espagne est sortie comme le « plus grand perdant » de sa crise avec notre pays. Pour les curieux, ne bougez pas ! On vous en dit plus, juste ci-dessous.
Vous n’êtes pas sans savoir que l’Algérie et l’Espagne traversent, actuellement, une crise sans précédent jamais connue entre les deux nations. Et ce, pour des raisons particulières. Parmi elles, la position du président du gouvernement d’Espagne, à savoir Pedro Sánchez en ce qui concerne l’affaire du Sahara Occidental.
Une prise de position qui, vous l’aurez deviné, est opposée à celle adoptée par l’Algérie. En outre, ces différends n’ont pas été sans répercussions. D’ailleurs, l’Espagne est jugée comme étant la « plus grande perdante » dans cette affaire. Vous êtes intéressé et vous voulez en savoir davantage ? Ça tombe bien ! On vous livre, dans ce nouveau numéro de Dzair Daily, plus de détails à cet égard.
Voici les répercussions économiques de cette crise sur l’Espagne
Tout d’abord, on commencera par indiquer que ce pays de l’UE paye dorénavant le gaz à double prix comparé à ce qu’il en était avec le gouvernement de Tebboune. En effet, les Espagnols s’apprivoisent, maintenant, en gaz des États-Unis et de la Russie avec des tarifs beaucoup plus importants.
Ce qui confirme que Madrid s’est auto punie en ayant tourné le dos à l’Algérie en ce qui concerne le dossier du Sahara Occidental. De son côté, rien n’a changé ou presque pour l’Algérie. Et pour cause, notre pays a trouvé un espace de commercialisation pour des quantités supplémentaires vers d’autres pays européens. Parmi eux, l’Italie et la France.
Par ailleurs, un analyste stratégique et ancien professeur en sciences politiques a déclaré que les événements et les calculs rationnels et pragmatiques indiquent que l’Espagne est vraiment le grand perdant après la détérioration de ses relations avec l’Algérie. Et tout particulièrement avec cette circonstance caractérisée par une crise mondiale du gaz. Ce n’est pas tout !
Le même intervenant a rappelé que l’Algérie ignore pour le moment les messages en provenance du Premier ministre espagnol. Ce qui pourrait changer si l’Espagne revient sur sa position politique concernant le Sahara occidental, déclare le spécialiste. Avant d’ajouter : « Mais dans ce contexte, je ne pense pas que cela se produira ». C’est en tout cas ce que rapporte le quotidien arabophone Echorouk dans son récent numéro.